- Ousadden, Abdelmalek
Ousadden, Abdelmalek (1927-2014) (Personal Name)
- Ousadden, Abdelmalek Houcine (1927-2014)
L'amazighité en devenir... : legs de l'un de ses vétérans feu Dr. Ousadden / Mohamed el Manouar ; préf. Hassan Aourid. -Rabat : Imprimerie El Maarif Al Jadida, 2015
Un des plus grands acteurs et défenseurs de la langue et culture Amazighs, il fut le premier Amazigh marocain à avoir son Baccalauréat, et ce en 1949, avant de rejoindre la France où il a eu une licence en Droit en 1952. Sa rencontre avec André Basset s'est soldée par de nombreuses études sur Tamazight, dont la plus précieuse fut l'étude comparative entre le parler des Ait Sadden et celui des Ait amer n Taourirt en Kabylie.. Il enseigna le berbère à Paris pendant quatre années, avant de partir à Lausanne en suisse pour y suivre des études en médecine. De retour au Maroc, Dr. Il s'installa à Fès où il ouvrit sa clinique de gynéco. Il est connu pour être le président fondateur de l'association socioculturelle Fazaz en 1994 à Fès, l'une des associations actives au sein du CNC (Conseil national de coordination), structure créée en 1994 pour la coordination entre les associations amazigh à l'époque.. Il fut également un des «Sept» personnes démissionnaires du conseil d'administration de l'Institut royal de la culture amazighe (IRCA) en février 2005, aux cotés de Mohamed Boudhan, Hassane Banhakeia, Mohamed Ajaâjaâ, Mimoun Ighraz, Ali Bougrine et Ali Khadaoui. Un des plus grands acteurs et défenseurs de la langue et culture Amazighs, il fut le premier Amazigh marocain à avoir son Baccalauréat, et ce en 1949, avant de rejoindre la France où il a eu une licence en Droit en 1952. Sa rencontre avec André Basset s'est soldée par de nombreuses études sur Tamazight, dont la plus précieuse fut l'étude comparative entre le parler des Ait Sadden et celui des Ait amer n Taourirt en Kabylie.. Il enseigna le berbère à Paris pendant quatre années, avant de partir à Lausanne en suisse pour y suivre des études en médecine. De retour au Maroc, Dr. Il s'installa à Fès où il ouvrit sa clinique de gynéco. Il est connu pour être le président fondateur de l'association socioculturelle Fazaz en 1994 à Fès, l'une des associations actives au sein du CNC (Conseil national de coordination), structure créée en 1994 pour la coordination entre les associations amazigh à l'époque.. Il fut également un des «Sept» personnes démissionnaires du conseil d'administration de l'Institut royal de la culture amazighe (IRCA) en février 2005, aux cotés de Mohamed Boudhan, Hassane Banhakeia, Mohamed Ajaâjaâ, Mimoun Ighraz, Ali Bougrine et Ali Khadaoui.