Connaissances et pratiques des médecins vis-à-vis du cancer du col de l'utérus et de l'infection HPV à Fès [Ressource électronique] = HPV and cervical cancer : knowledge and practices of physicians in Fez / Mohamed Berraho, Samira el Fakir, Naima Abda... [et al.]
نوع المادة : مقالةاللغة: الفرنسية, الإنجليزية عنوان آخر:- HPV and cervical cancer : knowledge and practices of physicians in Fez [عنوان موازي]
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مقالة أنترانت | Bibliothèque centrale Intranet | INTRANET (إستعراض الرف(يفتح أدناه)) | 1 | المتاح | AR550557 |
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HPV = Human papilloma virus
Bibliogr. p. 356-357
Résumés en français et en anglais
L'objectif principal de ce travail est de décrire les connaissances et les pratiques vis-à-vis du cancer du col de l'utérus (CCU) et de l'infection à l'Human Papilloma Virus (HPV) des médecins généralistes exerçant aux centres de santé du réseau de soins de santé de base (RSSB). Méthodologie : étude transversale menée auprès des médecins généralistes exerçant dans tous les centres de santé de la Wilaya de Fès pendant le mois de mai 2010. Le recueil de l'information a été réalisé par un questionnaire auto-administré. Résultats : le taux de réponse était de 77,7 %. Seulement 25,6 % des médecins rapportent connaître la technique du frottis cervico-vaginal (FCV) et 7,9 %, toutes des femmes, pratiquent eux-mêmes les FCV. Les raisons de la non pratique du FCV se répartissent principalement entre l'absence de formation (69,0 %) et le manque de moyen de diagnostic (24,0 %). 89,0 % pensent que les antécédents familiaux de CCU représentent un facteur de risque, tous les médecins rapportent que les infections sexuellement transmissibles et la multitude des partenaires sexuels représentent des facteurs de risque du CCU, 94,9 % pensent que l'âge précoce du premier rapport sexuel est un facteur de risque et 97,4 % rapportent que les condylomes génitaux représentent un facteur de risque.76,4 % déclarent connaître l'existence d'un vaccin anti-HPV. Conclusion : le niveau de connaissances épidémiologiques des médecins exerçant dans le RSSB, sur le CCU et l'HPV, est relativement modeste et leur participation aux actions de dépistage et de diagnostic du CCU est assez faible. Des actions de formation et de sensibilisation sont très recommandées
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