Devenir « bioéthicien(ne) »? [Ressource électronique] / Nouzha Guessous
نوع المادة : مقالةاللغة: الفرنسية لغة الملخص:الإنجليزية موارد على الانترنت: في: Journal international de bioéthique. - V. 24, 2013, p. 43-52. -ملخص:Il n'y a au jour d'aujourd'hui toujours pas d'unanimité concernant la définition de la bioéthique. Issue d'une réflexion par essence pluridisciplinaire, cette « spécialité » se cherche encore. Son enseignement reste non généralisé et loin d'être standardisé. C'est ainsi que selon les pays et les institutions qui le dispensent, on note des variations parfois majeures de son contenu et de ses modalités, des qualifications requises pour ses enseignants, et du statut des formations délivrées et des personnes formées. Et bien que les diplômés en bioéthique soient de plus en plus nombreux, le titre de « bioéthicien(ne) » n'est ni clairement défini et encadré, ni consacré par un cursus validé, ni réservé à un statut d'emploi. C'est dans ce cadre général qu'il conviendrait de réfléchir sur le besoin ou même l'intérêt de professionnaliser la bioéthique. Serait-il pertinent et comment formaliser une réflexion et une approche pluridisciplinaires de délibération en une « spécialité » dont les titulaires trouveraient leur place sur le marché du travail ? Quels seraient le domaine de qualification généraliste et les domaines de spécialité ? Peut-on concevoir un statut de « spécialiste » en bioéthique « universelle » et d'autres spécialistes de domaines particuliers à l'instar des formations en sciences juridiques ? Le débat est ouvertنوع المادة | المكتبة الحالية | رقم الطلب | رقم النسخة | حالة | تاريخ الإستحقاق | الباركود | |
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مقالة أنترانت | Bibliothèque centrale Intranet | INTRANET (إستعراض الرف(يفتح أدناه)) | 1 | المتاح | AR554528 |
Notes bibliogr.
Résumés en français et anglais
Il n'y a au jour d'aujourd'hui toujours pas d'unanimité concernant la définition de la bioéthique. Issue d'une réflexion par essence pluridisciplinaire, cette « spécialité » se cherche encore. Son enseignement reste non généralisé et loin d'être standardisé. C'est ainsi que selon les pays et les institutions qui le dispensent, on note des variations parfois majeures de son contenu et de ses modalités, des qualifications requises pour ses enseignants, et du statut des formations délivrées et des personnes formées. Et bien que les diplômés en bioéthique soient de plus en plus nombreux, le titre de « bioéthicien(ne) » n'est ni clairement défini et encadré, ni consacré par un cursus validé, ni réservé à un statut d'emploi. C'est dans ce cadre général qu'il conviendrait de réfléchir sur le besoin ou même l'intérêt de professionnaliser la bioéthique. Serait-il pertinent et comment formaliser une réflexion et une approche pluridisciplinaires de délibération en une « spécialité » dont les titulaires trouveraient leur place sur le marché du travail ? Quels seraient le domaine de qualification généraliste et les domaines de spécialité ? Peut-on concevoir un statut de « spécialiste » en bioéthique « universelle » et d'autres spécialistes de domaines particuliers à l'instar des formations en sciences juridiques ? Le débat est ouvert
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