Les latrines en al Andalus [Ressource électronique] : leurs principales caractéristiques et les conditions sanitaires urbaines / par Ieva Reklaityte
نوع المادة : مقالةوصف:p. 59-75الموضوع:تصنيف DDC:- 628.209467 23E
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نوع المادة | المكتبة الحالية | المجموعة | رقم الطلب | رقم النسخة | حالة | تاريخ الإستحقاق | الباركود | |
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مقالة أنترانت | Bibliothèque centrale Intranet | Collection générale | INRANET (إستعراض الرف(يفتح أدناه)) | 1 | المتاح | AR645291 |
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Notes bibliogr.
Les données archéologiques montrent combien l'intimité à l'intérieur des latrines était un aspect clé de la maison d'al‑Andalus. Outre des rideaux ou des portes, le cabinet était souvent occulté par une cloison qui créait une entrée coudée et empêchait de voir, depuis l'extérieur, l'usager qui s'y trouvait. Ce réduit, habituellement très exigu, présentait un dispositif souvent légèrement surhaussé et de dimensions variables, fait en brique ou en pierre, et plus exceptionnellement en marbre, avec une fente étroite en son centre. Une petite ouverture était sûrement percée en haut des murs pour en assurer l'aération, elle-même facilitée par la circulation de l'air entre le patio et la rue. L'accès aux latrines s'effectuait généralement depuis le patio ou le vestibule. Même si certaines villes comme Murcie, par exemple, possédaient un ample réseau d'égouts, la solution la plus fréquemment adoptée pour l'évacuation était celle de puits perdus, tel que cela a été documenté dans de nombreuses agglomérations urbaines ainsi que dans la plupart des faubourgs califaux de Cordoue et dans des établissements de moyenne importance comme Siyāsa (Cieza, Murcie) ou Shaltish/Saltés (Huelva)
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