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_aLe Maroc et la crise économique mondiale _h[Enregistrement sonore] : _bconférence / _canimée par Fathallah Oualalou |
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_a1 disque compact ; _c12 cm |
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520 | _aLe Maroc a résisté à la crise économique internationale grâce au système financier mais aussi grâce aux équilibres macroéconomiques. Telle est la conclusion des intervenants à la conférence débat organisée par l'Association pour le progrès des dirigeants (APD), jeudi 7 janvier, à Casablanca. Cette conférence qui a été présidée par Saâd Kettani, président de l'APD, a été animée par Fathallah Oualalou, professeur universitaire et maire de la ville de Rabat et Driss Benali, économiste et professeur universitaire. Ont participé également au débat, Jawad Kerdoudi, président de l'Institut marocain des relations internationales et Rachid Sefrioui, président de Finatech Group. «Je pense que le Maghreb et le monde arabe n'ont pas appréhendé la nature de la crise et notamment ses conséquences. Il est certain qu'il s'agit d'une très grande crise sur le plan qualitatif. C'est la première crise de la globalisation», a affirmé M. Oualalou. Ce dernier soutient la thèse selon laquelle les solutions et la sortie de crise ne peuvent se faire dans un cadre national. Elles se font et doivent se faire dans un cadre régional. «Le centre de négociation de la sortie de crise n'est plus les nations mais les régions, autrement dit les pôles régionaux. Si les pays du Maghreb avaient réussi l'intégration économique, ils auraient mieux résisté à la crise et auraient compensé la baisse de la demande extérieure par la demande intérieure», a souligné Fathallah Oualalou. Et si certains analystes économiques pensent que la crise mondiale est une catastrophe, le professeur Benali, lui, n'est pas du même avis. « La crise n'est ni le déclin ni la décadence. C'est un moment de l'évolution économique. Depuis que le capitalisme existe, il a évolué à coups de crises et de prospérités», affirme-t-il. Ce dernier a insisté en revanche sur le fait que le Maroc est obligé de veiller aux grands équilibres macroéconomiques. «Les pays qui résistent le mieux à la crise ont une gouvernance plus efficace, au niveau de la gestion, des prises de décisions et aussi de la mise en place des règles de jeu», a précisé Driss Benali. Afin d'encourager la demande intérieure, il faut nécessairement renforcer la classe moyenne. «Notre demande interne qui est faible suppose une action en direction de ce qu'on appelle la classe moyenne. Il n'y a pas d'économie forte et moderne sans une classe moyenne consistante et grande. Il faut avoir une politique de classe moyenne qui peut se faire à travers la fiscalité, à travers également une politique beaucoup plus ciblée vers cette catégorie sociale de manière à donner une dynamique économique», a conclu M.Benali. | ||
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