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084 _a306.6M
100 1 _aKolly, Meryam
_eAuteur
_4070
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245 1 0 _aDe la religion que l'on voit à la religion que l'on ne voit pas :
_bles jeunes, le religieux et le travail social /
_cMaryam Kolly
260 _aBruxelles :
_bPresses de l'Université Saint-Louis,
_c2018
300 _a(183 p.)
504 _aBibliogr. p. 169-182
650 4 _aJEUNES
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650 4 _aMAGHREBIN
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650 4 _aINTEGRATION SOCIALE
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651 4 _aBELGIQUE
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520 _aComment les jeunes Bruxellois en cursus d'assistant social se projettent-ils dans le métier ? Qui sont ces intervenants sociaux - et surtout intervenantes sociales - de demain (dans un secteur fortement féminisé) ? La ville de Bruxelles est le théâtre de violentes disparités socio-économiques et d'un enseignement que l'on peut qualifier d'ethnoségrégé. Les liens entre jeunes s'y construisent dès lors avec force sur des bases identitaires - en référence tant au local (commune, quartier) qu'à l'histoire migratoire ou, encore, à la religion. À partir d'entretiens, Maryam Kolly relaie ici une « parole minoritaire » portée par de futurs travailleurs sociaux qui se disent catholiques ou musulmans, descendants de migrants venant du Maghreb ou d'Afrique subsaharienne. Érigée contre les logiques de disqualification (modernité/islam, Europe/Afrique, jeunesses d'en haut/d'en bas, non croyants/croyants), cette parole nous invite à un décentrement par rapport à l'expérience euro-occidentale
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